Ce soir je regarde les lumières de la ville briller. Elles éclairent les suels arbres en cages, se perdant en reflats mirobolants dans leur feuilles. Qu'elles sont orgueilleuses ces petites ampoules ! Elles me font horreur et pourtant sans elles j'en serais bien capable tu sais; de mourrir de peur.
J'aimerai que la nuit passe, que le slumières se tassent, ne pas afronter seule l'ombre des arbres menaçantes. Prend moi encore la main je t'en conjure, permet moi d'avoir confiance.
Je suis le méchant ?
Oui mais je ne suis pas avec le seignueur de la nuit. Aucun regard perçant ne traversara l'obscurité ambiante pour me dire qu'il m'aime et que tout va bien.
Car nous somes bien seuls au fond de l anuit, au fond qui sommes nous seuls ?
Seuls nous ne sommes rien...
en tout cas moi sans toi, je ne suis que peu de chose.
Hiii !!! Et voilà, on se comprend bien ma Lilly !!
RépondreSupprimerOn va aller les chercher, hein, et les attacher aux pieds de nos lits !