mardi 7 décembre 2010


Je crois que je ne suis pas obligée de t'aimer. Mais je crois que mon corps jamais ne su ce qu'était qu'espérer, attendre, se languir, croire.
Jamais mon esprit ne su ce qu'était le tourment, les idées folles, l'emportement, ou même la paranoïa.
Et mon âme sans toi, jamais n'aurait connu la paix, le douleur extrême, la complaisance, le plaisir, la gourmandise, la jalousie, la peur.
Et mon coeur, lui qui bât, n'aurait jamais su être, vivre. Tu lui as dit "aime" et ce simple mot l'a éveillé au monde comme la flamme ravive le phoenix.
Et moi petit être, j'ai su ce qu'était qu'être minable car les sentiments nous jettent à terre ! Mais toi la main toujours tendu tu me remet debout. Tu me serres contre toi parfois pour sentir mon odeur, et tu tangues, alors c'est moi qui te tiens.

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