
" Un homme de dos, devant une mer de nuages. Il s'appelle Univers.
Comment s'est-il trouvé là? "
Il marchait en quête de quelque chose de précieux. Or, diamant, joyaux... Toujours le nez collé au sol il ne prettait guère attention à ce qui l'entourait. La plus belle femme du monde lui avait souri sans qu'il ne la calcule, des hommes fortunés lui avait tendu la main et il n'y avait vu que du feu, toujours les yeux rivés sur ce que ses pieds recouvraient. Il hésitait souvent à marcher carrément pied-nus pour mieux sentir si il n'y avait pas quelques trésors qu'il écrasait sans pouvoir les percevoir. À force de marcher il arriva devant un escalier. Un escalier brillant comme du cristal. Il s'y engagea, ne pouvant encore une foi décrochait son regard des marches qui divisaient la lumières en différentes raies de couleurs. Puis un moment venu, il n'y avait plus de marches seulement une pelouse très douce. Il s'aperçu qu'il avait froid. Il avait les cheveux mouillés et des frissons brisaient sa concentration. Seulement dans cette pelouse il n'y avait rien de plus à voir que de l'herbe fraiche et verdoyante. Il s'y assis. Puis ennuyé voulut partir.
Plus d'escalier. Il avait beau scrutait le sol, plus aucune trace de cette escalier merveilleux. À force il chopa un torticolis qui lui fit relever la tête. Autour de lui rien. Le vide. Le vide et les nuages, couleurs pastel que le soleil déposait sur leur courbes cotonneuses. MAGNIFIQUES. Même les perles ne possédaient pas cet aspect rassurant de beauté. Seul sur son rocher au milieu des nuages, il avait trouvé ce pour quoi il marchait. Maintenant il ne cherchait plus les escaliers. Il s'allongea dans l'herbe. Un temps. Longtemps. Si longtemps que lorsque des hommes dans leur aéroplane le découvrir il était nu, barbu, et portait un air bienveillant et ce sourire chaleureux. Il leur offrit le gite et le couvert pour la nuit.
Lorsque ces hommes redescendirent sur terre, il devinrent les plus pieux humains que l'on pu apprécier. En effet il avait rencontré cet homme qui déclarait : "Je m'appelle Univers."
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